Comment peut-on oublier sa première fois ? On a tous un souvenir ému ou marrant en repensant à sa première expérience sexuelle, qu’elle se soit parfaitement bien déroulée ou qu’elle ait tournée au véritable fiasco.
Quoi qu’il en soit, ce qui caractérise le plus la première expérience sexuelle, c’est très souvent la notion de pudeur, tant ce sujet est communément considéré comme un véritable tabou.
Il semblerait pourtant que toutes les barrières soient à présent tombées en termes de pudeur, ce que nous prouve Clayton PETTET, jeune étudiant des beaux-arts Londonien, qui vient d’annoncer sur son blog vouloir perdre sa virginité en public.
Son projet (« Art School Stole My Virginity » - comprendre « les beaux-arts ont volé ma virginité »), consiste en la perte de sa virginité devant une assemblée composé de plusieurs dizaine de personnes.
C’est dans une grande galerie Londonienne que ce jeune homosexuel d’à peine 19 ans a décidé de « se faire pénétrer par son partenaire pour la première fois ». Cette performance artistique qui se tiendra donc le 25 Janvier 2014 sera suivi d’un quizz, aux termes duquel l’assemblée de voyeurs présents pourra poser toutes sortes de question au couple exhibitionniste.
Evidemment, c’est au nom de l’Art que Monsieur PETTET souhaite livrer sa virginité en pâture au public. Mais sous couvert d’une démarche artistique, on peut se demander s’il ne s’agit pas pour cet artiste en herbe d’un moyen rapide et efficace d’accélérer sa notoriété.
Comme on pouvait l’imaginer, cette démarche a déjà reçu un accueil défavorable et Clayton doit maintenant livrer un véritable combat pour faire admettre le caractère artistique de son projet à ses détracteurs, notamment l’association « The Lesbian and Gay Christian Movement », qui craint l’éventuelle décrédibilisassions de la communauté gay suite à une telle prestation.
Si vous souhaitez vous faire une idée de l’art "suggestif" de Clayton PETTET, ou même postuler pour faire partie du public, je vous laisse le soin d’aller faire un tour sur son compte Tumblr.
Enjoy,
Pépito.
PS : Note pour plus tard, interdire à mon enfant de faire les beaux arts.